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Channel: NTIC et Santé | Scoop.it
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La télémédecine en Norvège

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#UBIFRANCE La télémédecine en Norvège http://t.co/vP0SWQW7...
dbtmobile's insight:
La Norvège, un pays avec une démographie vieillissante accompagné d’une faible densité de population, s’est très tôt intéressée à la télémédecine. L’application des technologies de l’information et de la communication (TIC) au domaine de la santé ouvre de nombreuses perspectives. Dans les domaines d’actions propres aux practiciens, la télémédecine permet de soigner à distance, et pour la gestion dans un sens plus large, la télésanté permet de simplifier la gestion des patients et aussi les flux d’informations.


La télémédecine au chevet de la Sécurité sociale

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En France, les dépenses de santé représentent 11,6% du PIB. En comparaison, les pays européens y consacrent 9%. Si notre système de santé est réputé pour être l’un des meilleurs au monde, il est aussi très coûteux.

E-santé et dispositifs médicaux : les grands enjeux - themavision.fr

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Différents événements et tables rondes se sont tenus en novembre où il était notamment question de esanté et de dispositifs médicaux. Quelques grands enjeux ressortent de ces échanges, ainsi que quelques questions importantes encore en suspens.


La fouchette intelligente qui va vous aider à maigrir ! Presse citron

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HAPIlabs, une startup spécialisée dans les capteurs intelligents pour la santé, s'apprête à lancer la première fourchette intelligente et connectée.


Le futur de la santé sera mobile ou ne le sera pas : infographie

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Le potentiel de lusage des technologies nouvelles dans le domaine de la santé nest plus à prouver mais reste encore à exploiter. Avec le développement de la e-santé, l’autre corollaire, à savoir la m-santé devient encore plus présent. Entre tablettes numériques, interfaces tactiles portables et autres smartphones, les usages et applications en santé, à la fois pour les professionnels tout comme pour les patients sont multiples.



L'accès aux soins jugé difficile par plus d'un tiers des Français

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Près de quatre Français sur dix (37%) considèrent l'accès aux soins difficile en 2012, d'après le dernier observatoire réalisé par l'Ifop pour le cabinet Jalma, rendu public lundi 10 décembre. Une...

Santé 2.0 : vers une nouvelle relation Dr-patient vs Dr-consommateur ? - Loïck MENVIELLE

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Dans le cadre de la session 12 "La santé en perméabilité managériale" des Etats Généraux du Management 2012 organisés par la FNEGE, Loïck MENVIELLE, maître d...



Pour motiver le patient, les systèmes de e-santé doivent lui laisser la place centrale | L'Atelier: Disruptive innovation

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Pour que les solutions permettant de suivre son état de santé depuis chez soi fonctionne, il faut que le malade soit impliqué et participe de manière proactive à ce projet, et non pas qu'il se contente de transmettre des données.

dbtmobile's insight:
Pour que les solutions permettant de suivre son état de santé depuis chez soi fonctionne, il faut que le malade soit impliqué et participe de manière proactive à ce projet, et non pas qu'il se contente de transmettre des données.Pour être adoptés, les systèmes de gestion de sa santé à distance doivent avant tout être orientés patient, rappelle l'innovateur Frog, qui a mis au point un prototype d’une solution connectée de soin (CCS) qui lie de façon transparente médecins, patients et communautés de soutien. CCS favorise une relation de collaboration entre le malade, les fournisseurs, et un réseau social pour améliorer les résultats de santé du premier et contribuer à la réalisation de ses objectifs de vie. "CCS met le patient au centre de la gestion globale de sa situation de santé", explique Thomas Sutton, directeur de la création au studio milanais de Frog. Souvent les systèmes de santé sont structurés autour de prestation de soins primaires ou de visites à l’hôpital. Au contraire; le prototype "met l'accent sur ce que vous pouvez faire en tant que patient", explique Matteo Penzo, directeur de la technologie au sein de Frog. Un patient atteint d’hypertension et de légère gêne thoracique se voit prescrire par exemple des médicaments, ainsi qu’un programme d'exercices. Le docteur imprime puis fournit au patient un plan de soins avec un QR code pour télécharger l'application CCS  sur son smartphone.CommunautéEn fait, CCS propose au patient de l’aider à changer ses comportements grâce à une responsabilité et des encouragements sur Facebook et autres médias sociaux. Puisqu’atteindre un objectif d'activité par exemple permet au patient de recevoir les éloges de son cercle d'amis et de sa famille. Ces derniers peuvent également pousser le patient à s'en tenir au plan fixé par le docteur. La communauté CCS permet de renforcer le soutien social et éduquer les gens sur la santé et le bien-être. Cela renforce le principe selon lequel c’est un compagnon"qui aide le patient à améliorer sa santé et non un tuteur intrusif ou Big Brother" explique Alex Conconi architecte logiciel au sein de studio Milanais de Frog. Tout en encourageant un ami ou un membre de la famille, le patient est amené dans un cercle de sensibilisation à une maladie et un traitement particulier, et est encouragé à participer à son propre plan d'amélioration de santé.Comment ça marche ?Les instruments de mesure portables, et une gamme de capteurs intégrés dans les smartphones tels que des accéléromètres et le GPS aident le patient à surveiller et enregistrer des données sur sa pression artérielle, sa glycémie et son électrocardiographie. L'information est recueillie et affichée en temps réel. Ce qui permet ainsi au malade et au soignant, par l’intermédiaire de l’application d'examiner les points de données relevés et de progresser vers un objectif lié à la nutrition, à l'exercice ou à l'activité. Ainsi le docteur peut vérifier à tout moment les données de son patient afin de détecter l'apparition d'un problème, ou la détérioration d'un état. L'application reconnaît les corrélations et les tendances, et met en évidence les anomalies afin qu’elles puissent être instantanément reconnaissable par le corps médical. Enfin, l’application aide le patient à se souvenir de ses prises de médicaments et à se fixer des objectifs  


Annuaire des projets e-santé en France | esante.gouv.fr, le portail de l'ASIP Santé

Bourses, télémédecine... les 12 mesures anti-déserts médicaux

Décision médicale partagée et information délivrée sur Internet - Haute Autorité de Santé - Références

Des marathoniens bardés de capteurs espions

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Une course peut en cacher une autre...
http://www.inriality.fr
dbtmobile's insight:
Une course peut en cacher une autre. Pour l’un des coureurs du Marathon de Paris 2012, tout a commencé dans les sables du Maroc. C’est là que son matériel high-tech a été testé pour la première fois. Une bardée de capteurs miniaturisés, communicants sans fil, capables de mesurer en temps réel des variables indispensables à la compréhension et à l’amélioration des performances sportives.2 EnvoyerImprimer© Getty En avril 2010, le 25ème Marathon des Sables - considéré comme l’une des courses les plus éprouvantes au monde - accueillait un sportif bien particulier. Guillaume Chelius, chercheur d'Inria, était sur la ligne de départ, prêt à courir en moyenne 42 kms par jour pendant 6 jours, à raison de 5 heures par jour. Et cela sous une température dépassant parfois 45°C. Dans ses chaussures, sur ses tibias, ses cuisses, ses bras, son tronc et sa tête : une vingtaine de capteurs miniaturisés et communicants sans fil pour se synchroniser et enregistrer leurs données.
« Notre objectif était de comprendre ce que peut vivre un sportif pendant une compétition longue et éprouvante », explique Guillaume. Première mondiale, un flot de données gigantesque est recueilli dans ces conditions : au total, si l’on multiplie 16 capteurs, faisant 1 000 mesures à la seconde, par 3600 secondes, et pendant 35 heures on obtient plus de 2,5 milliards de mesures !
Ce premier challenge sportif et technologique en a donc fait naître un second : analyser les données brutes. Le travail se termine 24 mois plus tard, après que des algorithmes spécifiques aient été élaborés. Ces algorithmes avaient pour objectif de segmenter les données, d’identifier les indicateurs pertinents, et de comprendre comment ils évoluent. Cela afin de répondre à des questions du type : comment la température extérieure et l’humidité impactent-elles sur la course ? Est-ce que la mobilité du tronc peut constituer un indicateur de fatigue?
Pour le Marathon de Paris 2012, le nouvel équipement du coureur aura donc bénéficié de l’ensemble de ces travaux - le réseau dynamique embarque aujourd’hui plus d’intelligence et pèse encore moins lourd. Cette nouvelle expérimentation a mobilisé plusieurs expertises dont celle l'équipe de recherche Socrate.Dnet

La HAS veut certifier les établissements en s’aidant des patients à partir de 2014 | Le Quotidien du Medecin

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La Haute Autorité de santé (HAS), qui organisait jeudi à Lille ses rencontres régionales avec des décideurs, professionnels de santé et associations de patients, a fait le point sur la certification des établissements de santé lancée en 1999.

Au moment où elle finalise la future version de la certification applicable en 2014, la HAS a dressé un bilan des opérations en cours. Sur 2 650 établissements de santé, publics et privés, 18 % ont été certifiés sans aucune réserve, 36 % ont obtenu la certification avec une ou plusieurs recommandations, 36 % ont des réserves à lever pour obtenir leur certification, et 10 % ont un sursis à certification, une nouvelle visite étant programmée un an plus tard.

Un hôpital flottant pour les pays en voie de développement | ActuSoins l'actu infirmière

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Depuis 1978, un bateau pour le moins original sillonne la mer. Ce bâtiment n’est pas un simple navire, il s’agit d’un hôpital qui vient en aide aux


eSirius, solution informatisée de gestion du parcours patient, se développe dans les hôpitaux parisiens - TIC santé


Odys : la nouvelle téléconsultation entre le service Anesthésie du CHU de Nancy et l’UCSA | esante.gouv.fr, le portail de l'ASIP Santé

Premier observatoire français sur l'usage des réseaux sociaux par les professionnels de santé

Déterminer les utilisateurs influents dans une communauté de santé

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Pour savoir comment diffuser des données liées à la santé sur des communautés dédiées, il faut en connaître les membres influents. C’est-à-dire, ceux qui sont en mesure d'influer sur l'émotion d'autres personnes.


La télémédecine au chevet de la Sécurité sociale - RFI | le monde de la e-santé

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RFILa télémédecine au chevet de la Sécurité socialeRFIEn France, les dépenses de santé représentent 11,6% du PIB. En comparaison, les pays européens y consacrent 9%.


Le digital, nouvel allié du « Wait marketing » en salle d’attente

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On compte près de 38 000 cabinets médicaux en France en 2011(1). L’endroit est bien connu et intégré à la stratégie marketing des annonceurs concernés et des équipes marketing des laboratoires phar...

dbtmobile's insight:
On compte près de 38 000 cabinets médicaux en France en 2011(1).L’endroit est bien connu et intégré à la stratégie marketing des annonceurs concernés et des équipes marketing des laboratoires pharmaceutiques depuis quelques années. Du moins, ceux qui connaissent la notion de « wait marketing » et qui ont certainement étudié l’ouvrage d’une spécialiste du marketing Diana Derval, intitulé « Wait Marketing, communiquer au bon moment, au bon endroit » (datant de 2006). Livre où elle explique les raisons pour lesquels la salle d’attente d’un médecin est un lieu privilégié.Petit retour sur le wait marketingOn y apprend que la durée de l’attente lorsqu’elle est indéterminée, est plus propice à la réception des messages publicitaires que la durée d’attente « maîtrisée » (avec indication de délai d’attente), durant laquelle une partie des « consommateurs » ciblés va vaquer à d’autres occupations aux alentours. Que le temps moyen d’attente pour voir un médecin est d’environ 20,2 minutes. Et que la publicité dans des lieux d’attente, comme chez le médecin, gêne moins d’une personne sur dix, car souvent considérée comme divertissante.
Car le patient semble bien, vouloir occuper ce délai d’attente de manière positive. D’ailleurs, ce constat est partagé par Benoit LEROY qui indique dans sa thèse(2) « qu’à travers diverses enquêtes menées entre 2005 et 2009, on observe un changement de position des patients qui considèrent la salle d’attente comme un lieu d’information et d’éducation à la santé, après le rôle d’attente. Ils sont ouverts, demandeurs et réceptifs à toute démarche éducative, notamment par l’intermédiaire des supports d’information de la salle d’attente de leur médecin généraliste. » En précisant, (via une étude réalisée par l’Union Régionale des Médecins Libéraux de la région Rhône-Alpes) que « parmi une liste de thèmes proposés à la patientèle des médecins généralistes, les personnes interrogées souhaitent voir aborder en consultation, à plus de 70 %, la prévention et le dépistage et, à plus de 50 % la vaccination ».
Sur ce dernier point, une étude menée en 2009 par Cegedim Strategic Data, a démontré une corrélation entre une campagne de prévention du cancer du col de l’utérus en salle d’attente (autour du vaccin Gardasil®) et le nombre de patientes vaccinées. (entre 12% à 27%* d’injections supplémentaires par rapport au groupe témoin de cabinets médicaux ne disposant d’aucun support d’information dans leur salle d’attente). En d’autres termes et pour paraphraser un ancien patron de chaîne : le temps passé en salle d’attente est « du temps de cerveau disponible » pour consulter des brochures, affiches et autres supports papiers … ou sous d’autres formats.Le digital, nouvel allié du « Wait marketing »L’affichage numérique semble prendre le pas des traditionnelles affiches et autres posters, en termes d’efficacité et mémorisation des messages.
En 2010, des études réalisées dans le cadre d’une thèse(3), ont noté une amélioration de 11,5% concernant l’efficacité d’une campagne via un diaporama vidéo, versus l’utilisation d’affiches et brochures. Et le lieu semble booster l’efficacité du support, comme en témoignait une étude Ifop qui avait mesuré qu’un même spot télévisé est mémorisé par 17 personnes sur 100 à la maison versus 27 personnes sur 100 dans une salle d’attente.
En France, des acteurs se sont positionnés sur ce secteur, cherchant à équiper d’écrans les salles d’attentes des généralistes ou des spécialistes. Avec un modèle économique basé sur un système d’abonnement, permettant d’accéder à un fonds de documents, quizz santé, clips promotionnels…obligeant toutefois, le cabinet médical à s’équiper d’une installation adaptée. Parmi ces acteurs, citons le groupe canal33 ou le tout nouveau TV Santé.
Pour en savoir plus, sur les perspectives de ce marché, je vous invite à visionner l’interview donnée par Bertrand Demangeon, créateur de TV Santé, à Jean Michel Billaut.Il y indique sa plateforme et son projet d’évolution, le tout accompagné d’une analyse personnelle sur l’évolution de la santé en France.
On le voit, l’information peut passer par un écran, mais il y en a un, que le patient emporte avec lui, partout où il le souhaite, c’est celui de son smartphone.
D’ailleurs, le device est déjà utilisé en situation d’attente, en effet, qui n’a pas consulté sa messagerie, joué, écouté de la musique…histoire de passer le temps ?
Selon une étude réalisée en septembre-octobre 2012 (InMobi / Decision Fuel), 40% des mobinautes utilisent leur appareil comme moyen principal ou exclusif d’accès à Internet. Et ce la va croître, considérant l’évolution annoncée du marché des smartphones d’ici 2015 (je vous invite à consulter mon précédent article sur le sujet).
Dorénavant, son smartphone et la salle d’attente vont devenir synonymes d’un moyen supplémentaire de s’informer sur sa santé.
C’est d’ailleurs le pari que prend IDS Santé en proposant « Quiz Santé », son site mobile dédié à l’éduction du patient en salle d’attente. « Quiz-Santé » permet aux patients de répondre à des questions sur la santé, les maladies, de lire et d’évaluer les dépliants disponibles dans le présentoir, de répondre à des enquêtes afin de mesurer l’impact des campagnes de prévention en temps réel. Téléchargeables via un QR Code présent sur les posters positionnés en salle d’attente, c’est plus d’une trentaine de quiz qui sont proposés autour de la contraception, le tabagisme, la dépression, le cholestérol, le diabète, l’allaitement… Un avantage certain pour les cabinets médicaux n’ayant pas à installer d’écrans pour cette solution.
Gageons que cette voie est promise à un bel avenir, avec la facilité d’utilisation des QR Codes et la formidable avancée technologique que représente à terme, la norme NFC (Near Field Communication), qui sont des atouts primordiaux pour installer durablement l’utilisation des smartphones dans les salles d’attentes. Il est vrai que l’on parle plus à l’heure actuelle de NFC autour d’applications liées au commerce et paiement mobile, mais peut déjà signaler l’utilisation de cette norme dans le cadre de projets e-santé dans les métiers du maintien à domicile(4). Et le graal visé en la matière reste le partage de son dossier médical électronique.
Voici quelques liens pour se faire une idée des possibilités offertes par la technologie NFC : http://www.geeksandcom.com/le-nfc-en-6-exemples-dutilisation-au-dela-du-paiement-mobile/http://www.generation-phonehouse.fr/2012/02/08/technologie-nfc/
En effet, pourquoi ne pas imaginer dans les prochains mois, des posters « intelligents » qui en fonction des informations signalées dans votre dossier médical électronique, embarqué via votre smartphone, vous permettraient de télécharger directement des informations santé en rapport direct avec vos pathologies, vos traitements en cours ou d’accéder à des dossiers et des conseils santé adaptés…
Alors, la salle d’attente n’est-elle pas « the place to be » pour informer les patients ? Et vous, qu’en pensez-vous ?

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