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Lancement de l'opération My SantéMobile

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IDS Santé lance une 1ère mondiale dans le domaine de la santé connectée (Quantified Self) : My Santémobile. Découverte. Cette opération My Santémobile, placée sous le haut patronage du Ministère dé...



Un thermomètre connecté pour cartographier en temps réel des pathologies infectieuses

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Inder Singh jusqu’alors vice-président exécutif de la Fondation Clinton et animateur de l’Initiative Clinton pour l’accès à la santé a développé un projet de cartographie de la santé d’une région ou d’un pays, en agrégeant les données d’un grand nombre d’individus. Il a récemment entrepris, avec la start-up Kinsa, de mettre au point un thermomètre connecté à la fois peu coûteux (20 €) et léger. Ce thermomètre se connecte via la prise casque d’un smartphone et ne nécessite pas de batterie ou d’écran de visualisation intégré.

Ce projet s’inspire de réalisations, comme Google Flu Trends  ou Google Dengue Trends  qui permettent de suivre la propagation de la grippe et de la dengue. La fièvre est en effet souvent le premier signe de la maladie.

L’impact de ce projet en termes de santé publique reposera sur l’agrégation des températures recueillies à l’échelle d’un quartier, d’une ville ou même d’un pays. Il devrait en effet permettre de détecter la présence d’une maladie dans une zone géographique donnée. Outre la fonction d’alerte en cas d’épidémie, ou la possibilité de localiser le centre de soins le plus proche, l’application associée au thermomètre devrait permettre d’estimer la durée probable de la maladie.

Les fonds nécessaires au projet de thermomètre connecté Kinsa sont issus de la plateforme de financement collaboratif IndieGoGo. Elle a ainsi levé 42 000 dollars (15 mai 2013) pour financer une première série industrielle et former les bases d’une communauté d’utilisateurs et de relais (« évangélistes ») (Source : IndieGoGo) 

Dans un domaine voisin, le Dr Leslie Saxon, cardiologue à l’Université de Californie du Sud, travaille à la mise en place de la plateforme, everyheartbeat.org, destinée à enregistrer les paramètres de santé d’un très grand nombre de participants. Ce recueil de données à très grande échelle, permettrait, selon le Dr Saxon, de faire progresser la connaissance médicale, à des fins de prévention et de traitement.




Un mobile Fujitsu-Orange rien que pour les seniors - l'Informaticien

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Le Stylistic S01 : c’est le nom d’un futur smartphone spécialement conçu pour les seniors, par Fujitsu et Orange. Le nombre de ce type de consommateurs devrait augmenter car cette population est en force croissance, en Europe.

S’agissant du téléphone lui-même, il serait très facile à manipuler. Pour rendre plus précise l’utilisation de son écran tactile de 4 pouces (800 x 480), il faudra exercer une petite pression (technologie de rétroaction tactile unique), quasiment comme si on appuyait sur une touche. Ainsi, si les doigts se baladent par inadvertance, ils n’interfèreront pas sur les fonctions du téléphone, en ouvrant, par exemple, une application sans le vouloir. Le mobile dispose de deux caméras, à l’avant et à l’arrière et d’une mémoire de 4 Go. Il fonctionne sous Android Ice Cream Sandwich 4.0.

Les icônes des différentes fonctionnalités sont également pensées pour faciliter la vie des séniors : extra-larges, avec une présentation intuitive et simplifiée. Une alarme de sécurité puissante pourra aussi, en cas d’urgence, prévenir les personnes situées à proximité. Le téléphone est également pensé pour les malentendants, nombreux dans cette tranche d’âge : le niveau du son peut être augmenté en fonction de l’âge de l’utilisateur. Une fonction pourra même ralentir le débit de l’interlocuteur, sans pour autant modifier le temps de conversation. 

Une offre de services Orange

Du côté des services, l’application gratuite « Orange et moi » proposera, de gérer son compte directement depuis le mobile : suivi de la consommation, rechargement du compte, choix de nouvelles options, offres spéciales… Grâce au service « Orange Cineday », le client aura droit à une place de cinéma offerte pour une place achetée, dans les cinémas partenaires d'Orange, tous les mardis : il devra envoyer « Cine » au 2000 par texto et recevra un code, qu'il présentera au guichet pour recevoir sa place offerte (cette offre est également disponible pour les détenteurs d'une carte UGC illimitée).

Ce type de téléphone avait déjà été testé au Japon (avec le NTT Docomo) où il s’est vendu à plus de 20 millions d’exemplaires. Ce partenariat avec Orange marque pour Fujitsu son entrée sur le marché des smartphones, en dehors du Japon.

Le Stylistic S01 sera disponible, en exposition, lors du prochain Mobile World Congress, qui se tiendra à Barcelone, dès le 25 février prochain.


Infographie : Les Français et les médicaments en ligne

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Les pharmacies en ligne sont autorisées en France mais qu'en pensent les Français ? Découvrez une infographie sur la vente de médicaments sur Internet et les risques.


Serious Game et maladie d’Alzheimer !

Pour MyHealthTeams, la maladie se combat en équipe

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MyHealthTeams a développé trois sites de réseaux sociaux dédiés chacun à une maladie chronique. Une approche de niche qui, dans le cadre de Big Data, pourrait se révéler fort utile à la recherche.

Présentation MSSanté, Réunion du 15 mai 2013 - ASIP Santé

L'essor des "e-patientes"

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Donner de l’espoir et informer, c’était le but de ces pionnières qui ont créé les premiers blogs ou forums. Certaines ont aujourd’hui acquis une vraie expertise, reconnue par le monde de la santé. Pas de doute, pour les patients, il y a bien un avant et un après Internet, même si certains médecins proclament encore qu'on trouve tout et n'importe quoi sur la Toile.

Savoir dépasser sa propre histoire

« Ce n’est pas parce qu’on tombe malade qu’on perd ses facultés intellectuelles. Les malades sont capables d’identifier la source de ce qu’ils lisent, clame Catherine Cerisey, dont le blog a reçu plus de 580 000 visites depuis sa création, en 2009. D’ailleurs, les informations erronées ne restent que quelques minutes en ligne avant d’être corrigées. Il existe une vraie intelligence collective sur le Web. » Pour Franck Chauvin, oncologue et professeur de santé publique au Centre Hygée de Saint-étienne, trop de médecins se méfient encore d’Internet «parce qu’ils craignent que les patients prennent les décisions à leur place. Comme un pilote qui aurait peur que les passagers prennent le contrôle de l’avion », ajoute-t-il.

Neuf ans après le diagnostic de son cancer du sein, Catherine Cerisey a éprouvé le besoin de donner aux autres ce qui lui avait manqué. Elle est devenue passeuse d’informations grâce à un travail systématique de veille. C’est ce qui distingue sa démarche de celle des journaux intimes en ligne dans lesquels des femmes racontent leur maladie au quotidien. « Ces blogs possèdent des vertus thérapeutiques évidentes. Et puis, ils créent de la solidarité. Au sein de ces petites communautés, on se remonte le moral », observe-t-elle.

Mais informer les autres, partager leur expérience et s’en enrichir implique d’avoir pris du recul par rapport à la maladie. « Le facteur temps est essentiel, estime le Dr Sarah Dauchy, psychiatre en cancérologie depuis quinze ans à l’institut Gustave-Roussy. Lorsqu’un ex-patient se propose comme bénévole, nous lui conseillons de prendre le temps de la réflexion. Pour aider les autres, il est essentiel qu’il parvienne d’abord à se détacher de sa propre expérience. » « Ce qui a changé la donne pour moi, c’est que j’ai décidé dès le départ de ne pas être anonyme. Les femmes peuvent davantage se projeter », ajoute Catherine Cerisey. « Cela implique d’être perpétuellement identifiée comme une patiente. Or, la grande majorité de ceux qui sont guéris préfèrent oublier et passer à autre chose », commente le Dr Sarah Dauchy.

La qualité de son blog et sa persévérance dans l’engagement valent aujourd’hui à Catherine de compter parmi les quelques anciens patients qui ont gagné le respect du monde médical. « Je n’aime pas le terme de patient ‘‘expert’’, dit-elle. Je lui préfère l’expression savoir-patient, elle me paraît plus juste. » « Là, on sait d’où on parle », approuve Sarah Dauchy. « La meilleure preuve qu’il existe un savoir-patient, c’est que chaque fois qu’un médecin tombe malade il écrit un livre pour raconter sa découverte », observe le Pr Chauvin.

Comment valoriser l’expérience et le vécu des malades ? De cette réflexion est née cancercantribution.fr, une plateforme collaborative dirigée par une avocate, Giovanna Marsico. Elle compare la maladie à un voyage : « Des professionnels donnent au malade les outils pour le faire. Mais le protagoniste, c’est lui. Et il est le seul à avoir une vision globale. » Cela, tous les malades le savent instinctivement. Et c’est pourquoi ils se tournent en priorité vers leurs pairs, présents sur le Web, lorsqu’ils sont assaillis par le doute.

Des médecins comme Franck Chauvin rejoignent Giovanna Marsico, Catherine Cerisey et tous les promoteurs de ce savoir-patient pour estimer que cette expertise est trop précieuse pour être négligée. D’abord parce qu’un patient bien informé est un patient qu’on soigne mieux et qui coûte moins cher à la communauté. « De 15 à 20 % moins cher en consultations et en passages inutiles aux urgences », précise le Pr Chauvin en s’appuyant sur une étude américaine parue dans la revue Health Affairs en février 2013. Ensuite, parce que les patients ont un rôle à jouer pour faire évoluer les pratiques. « C’est lorsqu’on les tient à l’écart et qu’on leur impose des décisions sans les avoir informés que se produisent des crises sanitaires », ajoute Giovanna Marsico, qui plaide pour la « co-construction » de nouvelles pratiques avec les professionnels de santé et les institutions.

Trouver du temps et des moyens

Beate Bartès, une traductrice d’origine allemande installée dans la banlieue de Toulouse, a joué un rôle précurseur en créant, en 2000, le premier forum dédié aux patients souffrant d’un cancer de la thyroïde. Devenu une association, Vivre sans thyroïde a étendu son champ d’action à toutes les maladies liées à la thyroïde. Au départ, Beate n’avait d’autre ambition que de combler un vide. Lorsqu’on lui a découvert son cancer, fin 1999, elle a fait des recherches sur Internet. C’est finalement sur un site allemand qu’elle a trouvé les réponses à ses questions. « Du coup, j’ai affronté ma maladie plus sereinement », explique-t-elle.

Aujourd’hui, son problème est de trouver le temps de répondre à toutes les sollicitations. Et aussi des moyens supplémentaires pour participer aux congrès médicaux où elle échange d’égal à égal avec les spécialistes. « Jusqu’à présent, j’ai résisté aux sollicitations des laboratoires pour préserver notre indépendance. Cela implique de voyager en low cost et de dormir sur le canapé des copines », plaisante-t-elle. C’est un enjeu pour l’avenir : quelle place, quels moyens donner à ces nouveaux acteurs pour mieux prendre en compte l’expérience des patients ? Pour Giovanna Marsico ou Catherine Cerisey, cela passe par leur entrée dans des instances comme le Comité des usagers et des professionnels (Comup), créé sous l’égide de l’Institut national du cancer (INCa), pour lequel elles se sont portées candidates. «Aujourd’hui, je vois mon blog comme une passerelle vers la vraie vie et la participation aux décisions politiques », conclut Catherine.

Sites et blogs à suivre

Associations française des patients du GIST : http://ensemblecontrelegist.com/

Le blog d’infos santé de Denise Silber : http://www.denisesilber.com/

Et ceux consacrés au cancer du sein : http://melilotus.over-blog.fr/ et http://isabelledelyon.canalblog.com/




Le Danemark-du-Sud améliore son système de soin grâce au programme IBM Big Data Analytics

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Le Danemark-du-Sud améliore son système de soin grâce au programme IBM Big Data Analytics
Communiqué de IBMJeudi 16 Mai 2013Grâce à l’offre IBM Smarter Care les acteurs du corps médical obtiendront une vision globale de leurs patients atteints de maladies chroniques pour améliorer leur qualité de soin et de vie

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IBM annonce aujourd'hui que le Danemark-du-Sud lance un nouveau programme pour améliorer la qualité et simplifier l’accès de son système de soins concernant les patients souffrant de maladies chroniques. L'objectif de ce programme est de faciliter la communication en temps réel entre les patients et les différents acteurs du corps médical (médecins, pharmaciens…) afin qu’ils aient une vision d’ensemble du plan de traitement des patients.
A l'aide de la plate-forme IBM Share Care Platform, il sera possible de standardiser les procédures, d'analyser efficacement les données dans le continuum des soins et de créer une vision holistique de chaque patient pour améliorer la qualité des soins qu'il reçoit à l'hôpital et sa vie quotidienne.

Le programme se concentrera dans un premier temps sur des patients souffrant de pathologies cardiaques pour ensuite s’étendre à des patients atteints de maladies chroniques comme le diabète de type II ou des pathologies pulmonaires.

La télémédecine à l'étude pour le maintien en EHPAD ou à domicile

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Eviter les hospitalisations coûteuse et sources d'angoisse pour les personnes âgées grâce à la télémédecine. Une expérimentation est en cours depuis 6 mois dans 7 établissements d'Aquitaine en partenariat avec le CHU de Bordeaux et les résultats sont encourageants.

Les solutions pour éviter l'hospitalisation des personnes âgées sont nombreuses et variées et l'emploi des nouvelles technologies y figure en bonne position. Parmi les pistes, la télémédecine est à l'étude pour le suivi des personnes âgées dépendantes. 

Les téléconsultations à l'essai en Aquitaine

En Aquitaine, une expérimentation est en cours pour un projet de téléconsultation. Le public visé est celui de la personne âge de plus de 75 ans souffrant d'une plaie chronique à type d'escarre, dans un contexte de dépendance.

Soigner ces plaies nécessite une fréquentation régulière de l'hôpital, raison pour laquelle cette pathologie a été retenue dans le cadre du projet mené par l'Agence Régionale de Santé d'Aquitaine, Télésanté Aquitaine et le CHU de Bordeaux.

Pour présenter ce projet, France 3 Aquitaine a interviewé le Professeur Nathalie Salles du Pôle de gérontologie clinique au CHU de Bordeaux. Selon le professeur Salles, la télémédecine permettrait d'assurer la continuité des soins, que ce soit dans les établissements de type EHPAD ou au domicile des patients et d'assurer le niveau de compétence des professionnels. 

Comment ça marche en pratique ?

A l'origine de la mise en place de la télémédecine, la demande du médecin traitant du patient. Une équipe pluridisciplinaire basée eu centre expert du CHU réalise à distance la consultation en présence d'un professionnel de santé basé lui, au sein de l'EHPAD. L'équipe comprend un gériatre, une infirmière spécialisée en plaies, un ergothérapeute et une diététicienne.

Selon le professeur Salles « Cette consultation multidisciplinaire dont la durée est d'environ 1 heure permet à la fois de renforcer les collaborations interprofessionnelles, d'assister les soignants, d'apporter une optimisation diagnostique et thérapeutique et enfin, de réaliser des actions d'éducation thérapeutique. »

Un bilan positif après 6 mois d'expérimentation

Après 6 mois de d'expérimentation de la télémédecine dans 7 établissements d'Aquitaine, 60 téléconsultations ont été réalisées et les résultats montrent « une nette amélioration du délai d'accès au spécialiste du CHU, ainsi qu'une évolution favorable des plaies, liées à un meilleur suivi des recommandations prodiguées aux équipes soignantes, qui montent en compétence au sein des EHPAD » commente le professeur Salles. 

A noter que les téléconsultations ont permis d'éviter des hospitalisations de jour et des consultations en dermatologie. L'expérience se montre donc très concluante sur ce point.

Illustration : © Robert Kneschke - Fotolia.com

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M-santé : La France compte 7 millions de mobina...

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Avec 7 millions de Français de 18 ans et plus surfant sur la santé à partir d’un smartphone et/ou d’une tablette, la santé mobile (ou msanté) est aujourd’hui une réalité ! A l’occasion du lancement de sa nouvelle plateforme d’évaluation, de recommandation et d’orientation en santé mobile (applications mobiles et objets connectés), www.dmdpost.com, dmd Santé présente le portrait du Mobinaute santé français d’après l’étude “A la recherche du ePatient” (LauMa communication, Patients & Web, TNS Sofres, Doctissimo, avril 2013).

Avec 28% des internautes santé surfant sur le web à partir d’un smartphone ou d’une tablette (soit 7 millions de personnes), la santé mobile est un secteur en plein développement. Conscient de cette réalité, dmd Santé veut permettre à chaque personne, grand public et professionnels de santé, de s’approprier la santé mobile en toute confiance. Sa réponse : www.dmdpost.com, le premier GPS de la msanté avec des applications et des objets de santé évalués par des professionnels de santé et des utilisateurs.

Mobinaute santé, qui es-tu ?

Parmi les 49% de Français surfant sur le web santé, 22% utilisent un smartphone et/ou 13% une tablette devenant de fait des mobinautes santé. A noter, 22% de ces mobinautes santé ont déjà téléchargé au moins 1 application mobile de santé sur leur smartphone et/ou tablette (2,3 apps de santé téléchargées en moyenne par personne). Etant tout aussi bien un homme qu’une femme (52% vs 48%), ces mobinautes santé se trouvent principalement parmi :

- les moins de 35 ans (53% des internautes santé de – de 35 ans sont des mobinautes santé),

- en région parisienne (46% des internautes santé de cette région sont des mobinautes santé),

- parmi les PCS+ et les revenus les plus aisés (35% des internautes santé PCS + et 35% de ceux étant dans un foyer dont le revenu net mensuel est de 3 000 € ou plus sont des mobinautes santé),

- et enfin parmi les diplômés (34% des internautes santé BAC + 2 et plus sont des mobinautes santé).

Pour le mobinaute santé, le web santé enrichit la relation médecin-patient

Le mobinaute santé est un sur-consommateur d’information santé et médicale mais également d’échanges et de dialogues sur le web autour de la santé. Ainsi, ils sont 52% à y chercher des informations au moins 1 fois par mois (vs 43% pour l’ensemble des internautes santé) et 40% y dialoguent autour de la santé (vs 33% des internautes santé).

De plus, loin de générer de l’anxiété ou de les détacher des professionnels, les mobinautes santé jugent que les informations médicales ou sur la santé trouvées sur internet permettent d’avoir des échanges plus riches avec les médecins (69% d’accord avec cette affirmation, vs 58% de l’ensemble des internautes santé) et renforce la confiance dans les médecins qu’ils consultent (56% sont d’accord sur ce point vs 50% des internautes santé).

Le mobinaute santé atteint d’une maladie chronique, un sur-consommateur du web santé en attente d’évaluation et de recommandation par les professionnels de santé

Près de 32% des internautes santé atteints d’une maladie chronique sont des mobinautes santé (vs 28% de l’ensemble des internautes santé). Encore plus connectés que leurs homologues fixes, ils sont plus de 32% à surfer quotidiennement ou presque à la recherche d’informations santé et plus de 25% à y dialoguer. Sur-consommateurs du web, ils le sont également d’applications mobiles de santé puisque près de 30% ont déjà téléchargé au moins 1 app de santé. A noter, près de 7 internautes santé atteints d’une maladie chronique sur 10 seraient prêts à utiliser une application mobile s’ils disposaient d’un smartphone ou d’une tablette.

Parmi les 70% de mobinautes n’ayant pas encore téléchargé d’app de santé, plus de 1 sur 2 seraient prêts à le faire si les apps sont évaluées (51,55%) ou labellisées (50,52%) par des professionnels, alors qu’ils ne seraient que 4 sur 10 à passer à l’acte s’il s’agit d’une certification par les pouvoirs publics.

dmd Santé, évaluation, recommandation et labellisation de la santé mobile

Evaluer et labelliser la msanté est aujourd’hui une nécessité afin de développer la confiance dans la santé mobile.

Guillaume Marchand, Président et co-fondateur de dmd Santé, analyse le développement de la santé mobile : “Pouvoir se repérer dans la « jungle » que représente aujourd’hui l’univers des applications mobiles est devenu primordial pour les patients comme pour les professionnels de santé. Il nous a semblé alors urgent de mettre à disposition de tous, et ce gratuitement, des évaluations de qualité. La msanté est un secteur d’avenir, mais il est indispensable d’y imposer des critères de qualité afin qu’il puisse jouir du statut qu’il mérite : celui d’un marché légitime et prometteur”.

dmd Santé opère une évaluation précise des applications de santé mobile autour d’un cahier des charges prenant en considération 13 familles de critères objectifs (stabilité et fiabilité de l’application, le prix…) et subjectifs (rapport qualité/prix, ergonomie, intérêt…). Le cahier des charges est appliqué à chaque application destinée aux professionnels de santé par un pool de 4 à 5 professionnels de santé. La moyenne de leurs notes donne la note finale attribuée à l’app.
Afin de garantir l’indépendance des évaluations, chaque professionnel de santé participe bénévolement au processus et ne doit être en lien avec aucun éditeur ou développeur d’application extérieur à dmd Santé.

L’évaluation des apps destinées aux patients ou liées à la relation médecin-patient suit le même processus. Au collège médical et paramédical (15 spécialités représentées) s’ajoute un collège patient lui-même constitué de 4 à 5 malades ou personnes issues du grand public répondant aux mêmes critères d’indépendance.

La synthèse de chaque évaluation est mise en ligne sur le site www.dmdpost.com avec son usage (professionnel ou patient), son prix, sa plateforme (iPhone, Androïd, iPad…), le nom du développeur / éditeur, la destination de l’app, son ergonomie, une proposition de discussion et sa note finale. Toutes les apps recevant une note égale ou supérieure à 16 sont automatiquement recommandées par dmd Santé.
De plus, chaque année, dmd Santé labellisera les applications santé de l’année. Cette labellisation sera réalisée par un jury composé de représentants de sociétés savantes et d’associations de patients. Les apps éligibles à la labellisation seront uniquement celles ayant obtenu une note d’évaluation égale ou supérieure à 16 / 20 et donc recommandées par dmd Santé.

dmd Santé, le GPS de la santé mobile

Dr Nicolas Lafferre, Directeur des affaires médicales de dmd Santé nous livre son opinion concernant le rôle de guide de dmd Santé : “Le site www.dmdpost.com est un repère pour quiconque souhaitant utiliser une application à caractère médical. Grâce à notre nouvelle plateforme, la navigation de l’internaute sera performée et plus rapide. dmd Santé c’est l’assurance d’un service complet et d’une évaluation objective et de qualité correspondant à ses attentes, en un mot : un gage de confiance”.

Avec 62 stores et près de 100 000 applications mobiles de santé disponibles (incluant fitness, wellness et applications médicales)[1] proposer un GPS permettant de naviguer dans ce nouveau monde est tout aussi important et c’est le rôle de www.dmdpost.com.

Depuis le lundi 13 mai, ce nouveau site internet de dmd Santé propose un nouvel algorithme de recherche d’application, le GPS de la santé mobile. Pour dmd Santé il est indispensable de proposer un service complet à l’attention des professionnels de santé, du grand public et des patients.
3 catégories d’applications sont mises en exergue : à destination des professionnels de santé, des patients et celles dédiées à la relation médecin-patient.
A partir d’une sélection croisée, l’internaute accéde facilement et efficacement à la recommandation de l’application de son choix. A travers son algorithme de recherche sur le web, dmd Santé entend aujourd’hui répondre à 3 besoins :

- Faciliter l’usage simple et rapide par chaque professionnel de santé de ou des apps professionnelles (et objets connectés) correspondant à sa pratique.

- Permettre à ces mêmes professionnels de recommander simplement et en toute confiance l’app qui correspondra à son patient, à sa pathologie, à son mode de vie…

- Permettre à chaque patient, chaque personne de s’emparer de la santé mobile en trouvant simplement une application évaluée en adéquation avec sa situation et ses attentes.



Médicaments sur Internet : l'Autorité de la concurrence veut plus de liberté

Healthcare Hashtags : le tableau de bord de suivi Twitter spécialisé en santé et médecine

Applications mobiles de santé : comment s’y retrouver ? Lesquelles utiliser ou conseiller ?

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Les médecins comme les patients surfent de plus en plus sur le web santé à partir de smartphones ou de tablettes.Pour accompagner cet usage, les applications santé se multiplient, de la simple calculette virtuelle à la base de données médicamenteuses mobile, en passant par de complexes outils ludo-éducatifs.



La maison intelligente allie surveillance médicale et gestion des appareils électriques

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Déjà rendue possible par des recherches universitaires, la gestion à distance de la consommation d'énergie des équipements électriques d'une maison s'allie maintenant à la surveillance de ses habitants.

En 2012, des chercheurs allemands de l'Institut Fraunhofer de Munich et du Fraunhofer Institute for Industrial Mechanics de Kaiserslautern avaient mis au point un système de prises intelligentes pour gérer l'extinction et l'allumage d'appareils électriques à distance. Cette découverte permettait entre autres d'optimiser la consommation d'électricité via l'utilisation d'un ordinateur ou d'un smartphone. Wattio, une entreprise espagnole, s'est emparée de ce concept pour développer un kit de gestion d'une maison. La start-up explore cependant davantage de possibilités que la seule gestion du courant électrique. Elle allie en effet à cette composante d'autres appareils importés des récents développements dans les secteurs de la e-santé et de la sécurité afin d'optimiser la surveillance à la fois d'une demeure et d'une personne nécessitant une attention médicale particulière.

Un smartphone pour les contrôler tous

L'aspect e-santé du modèle Wattio se concentre uniquement sur la surveillance de l'état de santé des personnages âgées ou de personnes nécessitant une attention constante. Porteurs de senseurs connectés en wi-fi, ces capteurs peuvent faire office de détecteurs de chute, de détecteurs de mouvement si une personne quitte la demeure de manière impromptue et, en dernier cas, ils peuvent fonctionner comme des alarmes afin de prévenir le maître de maison de tout problème. Comme dans le cas du modèle créé par les allemands, la gestion de la maison et de ses connecteurs peut s'opérer à partir d'une application smartphone, bien qu'elle puisse aussi être effectuée à partir d'une tablette dédiée. D'autres types de senseurs, eux, sont dédiés à la surveillance en temps réel d'un lieu : détecteurs de fumée, de mouvement ou de gaz, ils permettent à l'utilisateur d'obtenir des informations en temps réelle sur l'endroit muni de la batterie de senseurs proposée par Wattio.

Vers la maison intelligente ?

Le kit mis à disposition par Wattio traduit avant tout une réalité plus complexe. Il s'agit avant tout du sommet de l'iceberg en termes de recherche dans la technologie du bâtiment intelligent. En effet, comme L'Atelier l'avait récemment indiqué de récentes découvertes suédoises, les bâtiments sont aujourd'hui capables de gérer automatiquement leur consommation d'énergie, et peuvent aussi prendre en compte les désirs des utilisateurs connectés à leur réseau. Le produit de Wattio s'adresse avant tout à la gestion des maisons et pose en particulier la question de la surveillance et de ses limites, notamment dans ses applications e-santé.

 




Infographie : les Français et le médicament

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Les Entreprises du Médicament (Leem) publient sur leur site web une nouvelle infographie sur la relation des Français avec le médicament. Découverte. Cette infographie reprend les chiffres clefs is...


A Montpellier, les dégâts de l’hôpital numérique - Rue89

M-santé : Mobinaute santé, qui es-tu… et qu’attends-tu ? - dmdPost

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S'il fallait tirer les enseignements des éléments consacrés à la mobilité en santé de l'étude "A la recherche du ePatient", la question ne serait pas "qui es-tu ?" mais "qu'attends-tu ?".

De fait, si la mobilité en santé est aujourd'hui une réalité qui concerne 7 millions de Français de 18 ans et plus et dont personne ne doutait, le niveau d'attentes des mobinautes santé se révèle plus fort qu'attendu...

Ainsi, plus de 4 mobinautes santé sur 10 atteints d'une maladie chronique n'ont pas téléchargé d'appli mobile de santé tout simplement parce qu'ils n'en ont pas trouvées qui correspondent à leurs attentes.

De même, ils sont plus de 1 sur 2 à attendre que leur médecin les conseille concernant l'appli santé à utiliser et, parmi les non utilisateurs d'appli santé, 1 sur 2 serait prêt à le faire si les applis mobiles de santé étaient évaluées par les professionnels de santé ou labellisées par ces derniers.

L'injonction est donc claire : "Développeurs, éditeurs.... réalisez des applis santé pour mes besoins. Professionnels de santé, aiguillez-moi dans le monde de la santé mobile".

Si, pour le premier point, dmd Santé ne peut que relayer ce message et inciter les professionnels de santé à utiliser dmdpost.com pour orienter leurs patients vers les applis qui leur conviennent, pour le second le chemin est déjà à moitié parcouru. De fait, chaque jour les évaluateurs, professionnels de santé, malades et personnes issues du grand public, testent et notent les applis de santé mobiles francophones pour dmdpost.com permettant à chaque personne, malade ou non, de mieux prendre en charge sa santé via des applis mobile de santé reconnues.

La mobilité en santé est une réalité. Que chaque acteur apporte sa pierre à l'édifice et la santé mobile croîtra pour le bénéfice de chacun et de tous !



Léo Maury
Directeur délégué aux Systèmes d'Information
dmd Santé

PS : dmd Santé remercie Patients & Web et LauMa communication pour la mise à disposition exclusive des éléments sur le mobilité en santé issue de l'enquête "A la recherche du ePatient".

 

Cyberpsychologie et réalité virtuelle > Produits | Thot Cursus

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Le Laboratoire de cyberpsychologie de l'Université du Québec en Outaouais propose sur son site Web des ressources de qualité pour découvrir ce que sont la cyberpsychologie et la réalité virtuelle.


Game Therapy | Upstream

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