La dernière « mode » qui arrive en force en Europe sont les tatouages médicaux pour avertir les médecins en cas d’urgence, grâce à des écritures indélébiles indiquant « je suis diabétique », ou encore « je suis allergique à la pénicilline ».
Le dernier tatouage à faire parler de lui vient donc des Etats-Unis et correspond à un type de tatouage très différent de ce qu’on a l’habitude de voir. En effet, un nombre croissant d’individus affectés par une maladie spécifique choisissent de se la faire tatouer sur le corps pour avertir les médecins en cas d’urgence : grâce à des écritures indélébiles, les risques liés à des traitements administrés dangereux pour les malades, sont limités.
Les anglais sont les premiers à s’interroger sur cette pratique venue d’outre atlantique. Le principal doute suscité est lié à une interrogation : le médecin est-il obligé de suivre les « indications » particulières tatouées sur le patient qu’il est en train d’essayer de sauver ?